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Le soin énergétique pour les bébés, les enfants et les adolescents 

 

 

Je reçois de plus en plus de bébés et d'enfants qui m'arrivent essentiellement par le bouche à oreille... peut-être aussi parce que l'on attire ce que l'on aime faire... Je suis recommandée pour :

 

  • mes aptitudes à la médiumnité kinesthésique qui me permettent d'identifier précisément la cause d'une problématique

  • mes aptitudes innées au magnétisme grâce auxquelles je réalise un travail rapide et en profondeur, tant sur la cause que sur ses conséquences. Dans 98 % des cas, une seule séance suffit.

 

Je choisis donc de créer cette page supplémentaire qui va comporter quelques exemples de motifs de "consultation" afin de donner un large aperçu des bienfaits du soin énergétique pour les petits.

Majoritairement, les parents s'adressent à moi pour des troubles du comportement : hyperactivité, colères explosives, difficultés d'endormissement, réveils nocturnes... Comme les adultes, les enfants ressentent et vivent des émotions, la différence étant qu'ils ne les comprennent pas forcément et que selon le nombre et l'intensité de ces émotions, leur gestion peut s'avérer difficile. Sans oublier le fait que les enfants sont des "éponges" : en plus de leurs propres émotions, ils captent sans le vouloir celles de leurs parents, de leur nourrice, de leurs amis... ce qui peut devenir lourd et difficile à vivre, d'autant plus qu'elles sont associées à la fatigue, la société actuelle nous contraignant de leur imposer notre rythme de vie d'adulte.

 

Alors comme pour les adultes, je recommande de réaliser par la suite un soin énergétique "de rééquilibrage" une fois par an pour garantir le bien-être des enfants et éviter les débordements.

A noter que le soin énergétique ne se substitue en aucun cas à un avis médical, à un suivi médical et / ou paramédical, à la prise d'un traitement médical. Il intervient en COMPLEMENT de la médecine traditionnelle. Je collabore avec quelques professionnels de santé : si vous souhaitez que j'adresse un compte-rendu de notre rendez-vous à un médecin ou professionnel paramédical, merci de me le préciser DURANT NOTRE RENDEZ-VOUS.

Quelques exemples de soins ayant permis de "lever" et de rééquilibrer

des blocages, des comportements dérangeants, des malaises...*

 

Garçon 6 mois, importants troubles du sommeil :

Ce soin met en évidence une grande insécurité qui renvoie sur la naissance : l'accouchement s'est mal passé, l'enfant a dû être séparé très (trop) rapidement de sa mère qui nécessitait des soins d'urgence. Inconsciemment, il se retient de dormir pour rester en contact avec sa maman.

Fille 3 ans, violentes colères essentiellement avec la maman :

Elle est beaucoup dans le contrôle et elle est très sensible aux émotions de sa maman. Elle s'est construite comme avec un "bouclier de protection" : je connais cette émotion et je l'accepte, c'est OK, je ne la connais pas et/ou je la refuse, je ressens de la peur, pouvant aller jusqu'à la panique et là, c'est le débordement, l'explosion.

Ce RDV a mis en évidence le fait que durant la grossesse, la maman avait vécu des évènements très éprouvants. L'enfant a alors ressenti toute la tristesse et la douleur de la maman, sans en comprendre le pourquoi d'où un manque de sérénité et d'ouverture aux émotions.

Fille 3 ans, zona diagnostiqué par le pédiatre :

Lorsque je la rencontre, le zona est déjà bien étendu et il est très actif.  Je commence par "couper le feu" puis je travaille sur la cause profonde : grande insécurité, beaucoup, beaucoup de peurs qui renvoient sur des périodes d'hospitalisations successives éprouvantes.

Fille 4 ans, grande agitation et colères à type de caprices :

Les parents sont séparés depuis un an, elle est en garde alternée. Je mets en évidence une insécurité affective avec peur de l'abandon. Chez la maman, elle ne trouve pas sa place au sein d'une famille recomposée (d'enfant unique, elle se retrouve à partager maman avec les enfants du nouveau compagnon), chez papa, elle se ressource mais... elle évacue aussi par une demande excessive d'attention et des colères. Cette enfant fait de gros efforts pour "répondre" à ce qu'on attend d'elle et elle finit par ne plus être elle-même, par "se perdre" et exploser sous la pression qu'elle se met...

Garçon 4 ans, refus de l'école, pleurs, sommeil agité :

Chaque matin, ce petit garçon demande dès le réveil s'il doit aller à l'école aujourd'hui : si la réponse et oui, il se met à pleurer et il pleure plus encore lorsque les parents le dépose à l'école... et ceci sans interruption depuis qu'il est scolarisé. La séparation d'avec les parents est certes difficile mais je ne ressens pas de réelle peur de l'abandon. La cause réelle ne m'apparaît pas clairement, je suis sur un mélange d'inquiétude face à la nouveauté, de difficultés d'adaptation et de refus des "choses imposées". 

Garçon, 4,5 ans, très, très nerveux, grosses colères et "agressivité" à l'école :

Je ressens un fond de grande tristesse chez un petit garçon qui garde tout pour lui et s'efforce de la masquer. Il a très peur de ne pas être aimé et de déplaire. Ce contrôle de lui-même lui demande une grande consommation d'énergie qui l'amène à des explosions de colère : il s'en veut car il fait d'énormes efforts pour maîtriser ses émotions et surtout, pour plaire, au sens être aimé. Ce RDV mettra en évidence une grossesse très difficile pour la maman... et ce petit garçon qui a perçu la peur et la souffrance de sa maman (perte d'un précédent enfant).

Anecdote : ce petit garçon a tellement relâché le contrôle qu'il s'imposait durant la séance qu'il s'est endormi et qu'il n'a pas été possible de le réveiller ! Je l'ai moi-même porté jusqu'à sa voiture et il a poursuivi sa grosse sieste à la maison.

Garçon 5 ans, hyperactivité :

Je perçois cette hyperactivité comme étant la manifestation physique d'un mal-être et d'un débordement d'émotions insupportables. Ce petit garçon renferme énormément de peurs, voire de terreurs que je rattache à sa naissance à laquelle il n'était pas prêt et qu'il a vécu comme une agression, une grande insécurité. Cela l'a amené à développer un hyper attachement à sa maman (élément rassurant) et une hypervigilance qu'il exprime par une agitation permanente.

Fille 6 ans, troubles de l'oralité :

Cette petite fille, souriante et avenante, est littéralement envahie par des peurs et terreurs en tous genres. Elle est dans le contrôle permanent et excessif... voire démesuré car il la rassure. Elle est à la limite des TOC (troubles obsessionnels compulsifs). Tout est danger potentiel, y compris la nourriture. Dans ce cas, avant de travailler l'acceptation d'une nourriture variée, il est indispensable de travailler d'abord sur les peurs et leurs causes. Pour cette problématique spécifique, je verrai donc cette enfant deux fois.

Garçon 6 ans, nuits agitées et "mutisme émotionnel" :

Dès le départ, je ressens une grande tristesse cachée sous un masque jovial. Le chakra gorge est très chargé : il ne s'autorise pas à dire. Il est dans le contrôle excessif de lui-même, s'efforçant d'être un "enfant parfait" pour être aimé de ses deux parents. Il renferme une grande insécurité affective que je rattache à une période où le couple envisageait de se séparer (il avait alors un an). Ce "mutisme émotionnel" est un mode de protection mis en place de façon inconsciente : ne pas dire pour ne pas déplaire. Néanmoins, ce contrôle lui demande beaucoup d'énergie et génère des débordements sous forme de colères qu'il n'explique pas puisqu'il ne dit pas et de nuits agitées, les nuits étant le seul moment où il se relâche.

Anecdote : cette séance a aidé à la libération par la parole... un peu trop au goût des parents !

Garçon 9 ans, problèmes d'endormissement et réveils nocturnes :

Les parents sont séparés, il est en garde alternée. Il est très tendu, dans le contrôle. Le mode et les règles de vie chez papa et chez maman sont très différents. Chez papa, ce garçon a un comportement d'enfant raisonnable et qui s'assume, chez maman, c'est la relâche, il est plutôt "gros bébé", demandeur d'attention. Je mets en évidence une insécurité affective par rapport au père et surtout, une incapacité du garçon à parler avec son père, à lui dire ce qu'il a sur le coeur. La maman qui l'accompagne me dit que le père est très sévère et fermé au dialogue. Dans ce contexte, je travaille l'apaisement de la souffrance de l'enfant, sa perception et ses attente vis-à-vis de l'amour reçu par son père, le ressassement et la prise de recul.

Je donne ma carte à l'enfant et l'invite à la remettre à son papa pour un entretien téléphonique.

Parenthèse : quand je parle d'insécurité affective, cela ne veut pas dire que l'enfant n'est pas aimé par son parent mais que le parent ne lui apporte pas l'amour dont LUI aurait besoin, l'amour QU'IL ATTEND. C'est une question de perception...

Garçon 11 ans, mal-être  :

Garçon très sensible, soucieux du bien-être de ceux qu'il aime, qui cache sa propre souffrance derrière un masque jovial. Le soin permet une libération par la parole : il s'exprime sur la cause de sa souffrance, sur le rejet qu'il a de son corps qu'il trouve trop gros (il "se remplit" de nourriture pour apaiser un manque affectif). Nous travaillons à rééquilibrer les diverses émotions, à poser un autre regard sur les faits afin d'évoluer vers une meilleure adaptation... voire une "acceptation" des situations.

* Liste non exhaustive, il ne s'agit là que de quelques exemples parmi de nombreux autres motifs de consultation

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